Guérison de la Terre

Lorsque l’abeille caresse la fleur et absorbe son doux breuvage, celle-ci la saupoudre de poussière de pollen que notre messagère d’amour transporte vers la prochaine fleur. N’ayant ni ailes ni pattes pour se déplacer, les fleurs ont besoin d’un médiateur pour accomplir leurs actes amoureux.

La Déva des abeilles décrit la pollinisation en ces mots :

« La structure vibratoire de Gaïa est composée d’un ensemble complexe de réseaux énergétiques. Ces treillis entrelacés structurent et maintiennent la Terre en une unité cohérente.

Les abeilles, en volant de fleur en fleur, stimulent le flot énergétique qui circule au sein des réseaux.

Les sciences physiques expliquent qu’un courant électrique est généré par une différence de potentiel. De même, pour que le courant érotique terrestre circule, il faut qu’il y ait différence de potentiel. Lors de nos trajets de fleur en fleur, nous stimulons l’Éros terrestre en transportant les charges électriques contenues dans le pollen (+) et le nectar (-). Cette activation des principes masculins et féminins est une pollinisation énergétique : son action est profondément revitalisante, et se propage dans le champ vibratoire de la planète à travers les réseaux. »

Il n’est pas nécessaire d’être clairvoyant.e ou de méditer dans une grotte pendant 5 ans pour devenir sensible aux champs énergétiques. De nos jours, de plus en plus de gens ressentent les champs d’énergie et leur importance.

Lorsque des personnes se réunissent (physiquement ou par internet) avec une intention collective, cela peut avoir un impact guérisseur à large échelle. De nombreuses expériences scientifiques confirment cette théorie.

Le projet ApiToile est une initiative basée sur ce principe. L’ApiToile est une expérience collective qui soutient la guérison du champ terrestre, des abeilles et des humains. Si vous prenez soin de colonies d’abeilles ou vous envisagez de le faire prochainement, et que vous souhaitez rejoindre cette belle aventure, soyez les bienvenu.e.s !

Les abeilles aiment les humains. Pas nos caprices, ni notre arrogance, mais notre Essence.

Dans les milieux alter ou écolo, il est « tendance » de parler de l’être humain avec une certaine amertume vu-tout-le-mal-qu’il-fait-à-la-planète, d’endosser une bonne dose de culpabilité et de soupirer avec dépit. La Déva des abeilles sourit de ces scènes. En effet, s’il est certes important de réaliser le degré d’immaturité de certains comportements humains et leurs conséquences sur la santé de Gaïa, elle nous invite à orienter notre attention vers les spirales régénératives du système terrestre.

L’énergie suit la pensée, nous dit-elle, et lorsque vous focalisez sur le corps de souffrance généré par l’Homme, vous le nourrissez par votre attention. Votre identification au corps de souffrance lui donne encore plus de force et d’énergie qu’il n’en a déjà.

Aujourd’hui, nous sommes conviés à révolutionner notre perspective, et à visser un objectif « grand angle » sur notre caméra intérieure. Un grand appel de coopération planétaire résonne de par le monde. La transition de l’ère des Poissons vers celle du Verseau se caractérise par le passage de l’individualisme à la coopération et l’interdépendance. Le « je » devient « nous », tout en valorisant les qualités uniques de chaque individu.